

De la main à la chute
Balade sauvage d’une poignée de filles tentant d’échapper à l’ordinaire de cet « aménagement du désastre » qu’est devenue la ville. Se frottant au froid et au brillant du métal avec l’odeur du gazole en prime, aux « figures grimaçantes du dimanche soir », les filles s’appliquent « à défaire les traits habituels ». Et… « Elle répétait que la nuit ne s’arrache pas comme ça Que les corps engloutis ne peuvent pas être recrachés à coups de pelles » « M’approche Pourtant lui souffl